Où Terre sans Frontière touche l’éternité du doigt.

Où Terre sans Frontière touche l’éternité du doigt.

De André Sprauel

Elle nous est bien familière, notre cathédrale de Strasbourg mais elle sait aussi receler et dissimuler bien des secrets.

Avec précision et conviction, Alain nous a permis en ce bel après-midi de printemps du 26 mai, de pénétrer un peu plus dans l’intimité de la vénérable et facétieuse dame de grès rose.

Il est probable que ce jour-là, chacune des 27 personnes présentes ait eu la révélation de l’une ou l’autre facette qu’elle ignorait.

Loin d’avoir épuisé le sujet, cette sympathique découverte nous a montré une nouvelle fois que la cathédrale était une source infinie de richesses à explorer, à écouter conter.

Merci, Alain, d’avoir ainsi attisé notre curiosité.

Curiosité nourrie encore lors du cheminement-découverte ” sur les traces du Pope ” dans les rues alentour, toujours sous le soleil, qui nous a menés d’oriel en oriel, de girouette-poulaine en insolite clocher de marins vers la Victoire (entendez : le restaurant près de la Galia) où une petite moitié de convives (12 comme les apôtres) a pu finir la journée à table en devisant joyeusement, et en se régalant…

Vivement la prochaine journée conviviale*.

André